En l’an 221 avant notre temps, sous le règne de Ptolémée III, dans une vallée reculée bordée par le désert libyen, un scribe connu marqué par le nom Menkhotep consigna dans ses tablettes des phénomènes que les prêtres du temple refusaient de commenter. Au cœur d’un sanctuaire seul, ignoré par-dessous les ruines d’un ancestral zig
Dans la thermométrie de l’Égypte ancienne, au séparation du désert, Menkhotep poursuivait son marotte journalier, s’agenouillant devant le dispositif en pierre black à l’intérieur du sanctuaire effondré. Chaque naissance, quand les vents se glissaient par les fentes de la structure, la opinion des Vents surgissait, immensément zen, gr
En l’an 221 évident notre période, par-dessous le règne de Ptolémée III, dans une vallée reculée bordée par le désert libyen, un scribe appelé Menkhotep consigna dans ses tablettes des phénomènes que les prêtres du temple refusaient de commenter. Au cœur d’un sanctuaire seul, secret sous les ruines d’un ancien ziggourat, il avai
Dans la température de l’Égypte antique, au démarcation du désert, Menkhotep poursuivait son penchant journalier, s’agenouillant devant le système en pierre black à l’intérieur du sanctuaire effondré. Chaque naissance, si les vents se glissaient par les fentes de la composition, la voix des Vents surgissait, vivement tranquilité, net
En l’an 221 évident notre temps, sous le règne de Ptolémée III, dans une vallée reculée bordée par le désert libyen, un scribe appelé Menkhotep consigna dans ses tablettes des phénomènes que les prêtres du temple refusaient de commenter. Au cœur d’un sanctuaire isolé, méconnu par-dessous les ruines d’un traditionnel ziggourat,